Le projet européen eTwinning «Apprendre à apprendre avec un blob» rassemble 11 établissements scolaires : 6 en France, 3 en Espagne et 2 au Portugal. Il a débuté en septembre 2021.

Ce projet permet aux élèves  de développer leurs capacités dans de nombreuses disciplines mais aussi de travailler en groupe, de développer des compétences TICE, d’observer et d’agir.

À l’origine de ce projet il y a celui lancé par le CNRS et l’académie de Toulouse, #ELEVETONBLOB.

Les élèves tous acteurs prennent confiance en eux et utilisent des compétences souvent insoupçonnées

A l’occasion de la semaine des mathématiques,  l’ensemble des participants ont souhaité mettre en avant leurs compétences scientifiques de manière ludique en créant un escape game virtuel mathématique autour du blob.

Les élèves de chaque pays encadrés par leurs enseignants ont créé des énigmes statistiques.

L’intrigue se passe dans les locaux du CNRS de la chercheuse Audrey DussutourDirectrice de Recherche au CNRS qui travaille sur le blob depuis 2008 en lui consacrant une partie importante de ses recherches.

Les déplacements d’une sale à une autre se font de façon virtuelle grâce à des prises de vue à 360°du laboratoire. Le principe est de résoudre des énigmes mathématiques pour obtenir des indices pour terminer par déverrouiller un digicode.

Le compte à rebours est lancé ! La chercheuse a été faite prisonnière par des terroristes et vous devez  délivrer en moins de 55 minutes.

Le jeu se termine lorsque vous recevez un message enregistré personnelle par Audrey Dussutour qui a fait l’honneur d’apporter généreusement cette contribution au travail des élèves.

Cet escape game statistique est proposé librement sur la toile à l’attention des élèves et de leurs enseignants.

http://games.eteaching.fr/escapegame18/escapegame18.htm

Les enseignants ont pu y découvrir des élèves épanouis.

«Ils rentrent plus facilement dans les apprentissages car on leur propose un support attractif et ludique. Ils ont de ce fait moins de réticence à faire des mathématiques. Ils ne s’aperçoivent pas qu’ils les travaillent dans ces conditions mais les compétences sont bien là.

La motivation leur permet de mieux travailler.